lundi 29 août 2011

ALEX JONES : Joignez-vous à la guerre de l'information !

Alexander Jones est connu pour soutenir diverses théories du complot, impliquant notamment le Nouvel ordre mondial. Selon lui, certains éléments et membres du gouvernement des États-Unis d’Amérique s’efforcent d’affaiblir l’Amérique et sa souveraineté. Ces individus sont payés pour contrebalancer l’équilibre du pouvoir en faveur du continent européen qui est lui-même sous l'autorité de la Banque mondiale et la supervision de banquiers partisans de la globalisation. Il affirme que les globalistes utilisent une variante de la dialectique de Hegel qu’il décrit comme « problème-réaction-solution » et qui tend à créer un sentiment d’insécurité au sein de la population dans le but de saper les droits civiques et d’imposer leur politique même au prix de vies innocentes.


Alex Jones défend les théories du complot à propos des attentats du 11 septembre 2001 et se réfère fréquemment aux documents déclassés de l'Opération Northwoods pour montrer un exemple de manipulation par le gouvernement fédéral. Il considère les attentats du 11 septembre 2001 comme l’un des plus spectaculaires exemples de cette manipulation menée par des éléments criminels au sein du gouvernement américain, et il prétend avoir prédit cette attaque[1] dans son émission de télévision « Alex Jones Report » du 25 juillet 2001. Il accuse par ailleurs les principaux médias d'avoir été manipulés à un tel point qu’ils ne sont plus en état de jouer leur rôle de sentinelles de la société et qu’ils sont au contraire devenus un service de propagande de l’establishment corrompu.

Ses recherches sont menées principalement grâce à des interviews auprès d’experts de divers horizons, de chefs religieux et politiques, de témoins et victimes d’évènements, de membres du gouvernement. Il tire ses informations également de l’ensemble des médias, de documents gouvernementaux, de journaux d'opinion et autres publications. Jones se réfère donc fréquemment à l’ensemble des médias et des documents officiels déclassés qu’il présente comme autant de preuves de la réalité de ses propos, les appelant « leurs propres documents ». Ces documents sont selon lui souvent mis de côté et ignorés par les médias et par conséquent par la majorité de la population.

Alex Jones se voit comme un « patriote américain amoureux de la liberté » et considère le communisme tel qu’il peut être pratiqué en Chine comme un prétexte justifiant l’esclavage. Jones évite de parler en termes de « libéraux contre conservateurs » ; il considère les deux camps comme étant différents spectres de la même menace ou comme « les deux faces d’une même monnaie », comme il le dit dans son monologue dans le film Waking Life.

Affirmant avoir d’abord été « particulièrement laïc » durant les années 1990, mais qu’il est devenu plus ferme dans ses convictions chrétiennes après avoir pris conscience de la nature satanique et occulte des élites, Alex Jones déclare qu’il n’est pas important qu’on croie ou pas dans le satanisme, mais que ce qui est grave soit que les élites y croient. Il ajoute que ces élites sont mues par une mentalité de « signes de reconnaissance » et qu’elles tendent à diffuser ces signes partout.

Déclarant avoir reçu de nombreuses menaces de mort à cause de son engagement pour défendre la liberté, il a annoncé s’être fait à l’idée d’être tué, et considère la chose très probable s’il réussit à attirer toujours plus l’attention du public. Mais il ajoute « j’ai une assurance décès » au cas où il lui arriverait quelque chose.

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